FRANCE v NOUVELLE-ZÉLANDE, POULE A
On parle de quoi ?
Quel match pour débuter cette Coupe du Monde 2023… Un match d’ouverture de la Coupe du Monde de Rugby 2023 au Stade de France entre la Nouvelle-Zélande et la France !
C’est la rencontre que tous les amateurs de rugby, et de sport en général, attendent depuis le tirage au sort des phases de poules. Et quelle plus belle affiche qu’une rencontre entre les français, à domicile, et l’équipe néo-zélandaise qui a déjà soulevé 3 fois le Trophée Webb Ellis ?
Ce soir Christophe Pacaud et son équipe vous accueille dès 20h30 à Hossegor en direct pour vivre cette rencontre déjà historique.
La France reste sur 3 défaites sur les 3 dernières rencontres entre les deux équipes…
C’est le Sud-Africain Jaco Peyper qui arbitrera le tant attendu match d’ouverture de la Coupe du monde entre l’équipe de France et les All Blacks le 8 septembre au Stade de France. Considéré comme l’un des meilleurs arbitres de la planète, Peyper est un visage connu pour l’équipe de France. Il avait arbitré les Bleus lors du quart de finale perdu contre le pays de Galles à la Coupe du monde 2019, expulsant notamment Sébastien Vahaamahina pour un coup de coude. Il a également arbitré France-Angleterre en 2022, durant lequel les Tricolores avaient validé leur Grand Chelem, et était au sifflet de la dernière finale de Coupe des champions remportée par La Rochelle face au Leinster.
« Rendez-vous en Ovalie » est en direct chaque soir de matchs dès 20h30 pour une grande soirée Rugby.
Recap de la compétition, commentaires en direct, zoom sur le Rugby amateur et les clubs français, Tour du Monde culturel, touristique et gastronomique des pays participants !
Venez participer en direct sur place à l’émission et devenez commentateur d’un soir.
#radiorugby – #sportpourtous – #ovalie – #culture – #modedevie
Au programme du jour dans Rendez-vous en Ovalie :
La présentation de la poule de l’équipe de France de Fabien galthié :
– Poule A : Nouvelle-Zélande, France, Italie, Uruguay, Namibie.
Le retour sur les blessures du groupe français expliqué par Aurore Macon
Le rendez-vous tourisme du jour, avec un voyage en Nouvelle-Zélande. L’occasion de revenir avec Laurent Guena de Sport-et-tourisme.fr sur les attraits touristiques de ce pays où l’on marche la tête à l’envers.
Philippe Bernat-Salles et Christian JeanPierre en duplex avec Etienne BONAMY depuis le stade de France.
En près de dix ans au plus haut niveau international, Philippe Bernat-Salles s’est construit un palmarès enviable avec un Grand Chelem en 1998 en battant à Wembley, le Pays de Galles (51-0) et un titre de vice-champion du monde 1999. Avec le Biarritz olympique, il remporte deux titres de champion de France (2002 et 2005).
Christian Jeanpierre est journaliste sportif, il a notamment commenté (de 2008 à mars 2016) sur TF1 les matchs de l’équipe de France de football aux côtés de Bixente Lizarazu et Arsène Wenger, et animé du 30 mars 2008 au 10 juin 2018 l’émission Téléfoot sur la même chaîne.
Depuis 2022, il est nommé responsable des contenus pour New World TV, chaîne togolaise qui a acquis les droits de la Coupe du Monde 2022 et aujourd’hui la Coupe du Monde de Rugby pour toute l’Afrique francophone.
Prise d’ambiance avec Pierre-Emmanuel à Auckland
L’intégralité du match avec les commentaires du match avec Alexis Arades avec Jerome Armand autour de Christophe
Le debrief du match avec Jean-Louis FILC et la participation du public sur la fan zone Diu Biban et Yohann Zuckmeyer du podcast la cravate
et enfin un petit tour sur les réactions d’après match:
Ian Foster, sélectionneur de la Nouvelle-Zélande, après la défaite
À propos de la performance de son équipe :
» C’était évidemment un match serré. A la mi-temps, les deux équipes étaient au coude-à-coude. Ils nous ont mis beaucoup de pression en deuxième mi-temps et que nous avons eu du mal à mettre de la vitesse… Nous nous sommes créé quelques occasions, mais nous n’avons pas été assez bons. C’était un match en dents de scie, mais il faut leur tirer notre chapeau. En début de 2e période, ils nous ont vraiment privé de ballons «
À propos de l’absence tardive du capitaine Sam Cane :
» Il s’est fait mal au dos lors du captain’s run hier, en effectuant un lift en réception de coup d’envoi. Il a été examiné ce matin et il n’était pas très bien, c’est pourquoi nous avons décidé de le remplacer «
À propos de la discipline néo-zélandaise :
« Je pense que l’on n’a pas été trop indisciplinés. Ils ont obtenu quelques pénalités de notre part dans les rucks, nous savions qu’ils allaient être bons sur ce secteur…. Jouer la France ici lors du match d’ouverture était assez spécial, mais ils étaient un peu trop forts. Nous devons maintenant trouver une autre manière d’atteindre nos objectifs «
Fabien Galthié, sélectionneur à l’issue du match
A propos du match
» Il était important de bien débuter, même si ce n’était pas un match éliminatoire. C’était important de bien commencer ce match pour nous et pour le travail qu’on a mis en œuvre dans la préparation, pour aller plus loin. On a senti qu’il y avait beaucoup de pression sur cette première mi-temps, on a du mal à se libérer.
Les faits de jeu font qu’ils ont marqué très vite, plutôt facilement. On perd ensuite Julien Marchand. On a commencé le match avec le plus mauvais des scénarios possibles, ce qui fait partie du jeu.
Et puis on a réussi petit à petit à reprendre le contrôle du jeu pour s’accrocher. On n’a été pénalisé que quatre fois pour ce match, ce qui a été une des clés qui peut expliquer la victoire.
On ne s’attendait pas à cette ambiance. C’était très tendu, même dans les tribunes. C’était très tendu. On n’est pas habitué à ce type d’ambiance. «
A propos de ce qu’il s’est dit à la mi-temps dans les vestiaires :
» On rentre aux vestiaires avec un bon score mais n’ayant pas le contrôle du jeu, en donnant les clefs faciles à l’adversaire. A la mi-temps, on a constaté qu’on s’était fait choper par la pression de l’évènement alors qu’on s’était bien préparé. Ce qui est bien, c’est qu’on a réussi à débloquer la situation en revenant sur le terrain et d’autre part grâce à l’apport des finisseurs qui avaient vu le match se dérouler ; ils ont vu ce qu’on pouvait faire de mieux et ils ont apporté beaucoup d’énergie pour vraiment prendre le large. A la sortie, ça fait un score lourd en notre faveur. «
A propos de l’équipe de la Nouvelle-Zélande :
» Je les ai trouvés légers. On n’avait pas l’impression que c’est une équipe qui a plus d’expérience en terme de capes, d’âge, alors que nous on est quand même jeune. «