UCI : un peu de FBI pour renforcer les moyens de lutte contre le dopage technologique
Rencontre avec David Lapartient sur le village départ du Tour de France 2024. Au village départ de la première étape à Florence, au micro de Radio Sports, le président de l’UCI revient sur le renouveau du cyclisme et sur ses valeurs auprès du public.
Pour garantir un beau spectacle, il faut également sécuriser les coureurs. Des mesures seront prises à la suite des nombreuses chutes. Il évoque notamment les cartons jaune et rouge pour sanctionner les attitudes dangereuses des coureurs pourraient aussi être sanctionnées.
Dopages humains et dopages technologiques.. L’UCI met de nouveau moyen en oeuvre
« il ne faut jamais cesser et toujours continuer à garantir la crédibilité du résultat parce que Il y a des évolutions des choses qui peuvent être devenues indétectables ou pas et donc notre rôle c’est d’être toujours là Le coureur qui s’est fait pincer la semaine dernière Education First c’est une action d’investigation dans laquelle l’UCI était naturellement menée mêlée et qui a permis avec les forces de police d’intercepter finalement un coureur Donc ça montre que moi je crois aussi à l’investigation On veille et c’est l’essentiel et on travaille On est toujours en veille On veut aussi que tout le monde sente la pression sache que l’UCI est là on fait notre travail et donc les moteurs peuvent être de plus en plus petits raison de plus pour redoubler d’efforts »
David Lapartient, président de l’Union Cycliste Internationale
Sur le Tour 2024, un ancien agent du FBI est en mission pour l’Union Cycliste Internationale « visible ou invisible » il est présent « pour que tout le monde sache qu’on veille » confirme David Lapartient.